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Les variantes dans les bréviaires glagoitiques croates

Josip Hamm


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str. 13-36

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Les slavisants, qui, au cours de ces dernières 20 annés, se sont occupés ou s'occupent des questions de la naissance, de la filiation et de la reconstruction des textes vieux-slaves, se trouvent fréquemment embarrassés par le grand nombre de variantes des différents textes de la même ou bien d'une similaire provénience. Sur le terrain le plus conservatif, celui du vieux-slave d'Église, où les additions et les variations dues aux copistes sont presque excluses d'avance, ces difficultés s'expriment souvent par l'oscillation entre les trois récensions de base (K H W). Les efforts faits jusqu'à présent pour étudier les rapports entre les textes vieux-slaves (cyrillo-méthodiens et ceux plus récents) et les récensions mentionnées ont eu pour résultat qu'on prenait habituellement pour modèles des textes mixtes, dans lesquels les "K", les "KW" ou bien les "H" prédominaient. L'auteur aborde ces questions du côté méthodologique et examine la valeur et la force démonstrative des différents variantes et des différentes sortes de variantes. A cette fin il soumet à une analyse approfondie les premiers deux chapîtres du livre de Job, qui se trouvent dans les bréviaires glagolitiques croates du 13 e 15 siècle dans une quinzaine des différents manuscrits, dont un tiers suit la Septuaginte et deux tiers la Vulgate. En examinant les variantes dans ces textes sous leur rapport mutuel au dedans du système et sous le rapport entre les systèmes (slave, grec ou latin), l'auteur en tire la conclusion qu'il faut distinguer deux groupes de variantes - l'une générale et l'autre spéciale, et que l'attribution d'un texte à une récension dépend régulièrement de cette dernière. Comme variantes générales l'auteur considère celles dues au copiste ou au traducter; elles peuvent être faites volontairement ou involontairement (comme, par exemple, l'ommision de quelques mots ou des quelques parties de la phrase, l'addition des autres, etc.) sourtout par des raisons synoptiques, stilistiques ou explicatives; ensuit des différents changes des formes, de l'ordre de mots, etc. Comme spéciales sont considérées celles que le traducter (le copiste) n'était pas capable d'inventer; dans ce cas là il était obligé de se tenir aux textes quéil traduisait ou copiait. Puisque les variantes d'ordre général prévalent dans les manuscrits et puisque ces variantes contiennent, selon les apparences, des éléments très hétérogènes, il faudrait génerqlement déterminer la filiation des textes en partant de ces dernières (c. à. d. des variantes d'ordre spécial). Les rapports entre les variantes dans les bréviaires glagolitiques croates ont un intérêt particulier puisque le texte, examiné dans cet article et y publié dans une translittération latinique, figure en deux versions différentes, dont la seconde (latine et plus récente) s'est servie abondamment de l'appareillage de la première (plus ancienne, grecque). Il s'ensuit de la comparaison entre ces deux versions et d'une analyse plus détailée, que le texte glagolitique le plus ancien (pour les deux chapîtres en question) était traduit d'un modèle de la récension alexandrine (H. c. à. d. B.).

Ključne riječi

Hrčak ID:

13795

URI

https://hrcak.srce.hr/13795

Datum izdavanja:

30.9.1953.

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