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CONTRIBUTION A LA CONNAISSANCE DE GEORGES LA DALMATE

Cvito Fisković ; Split


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Continuant ses écrits antérieurs sur les oeuvres et attributions de A. Venturi et autres écrivains, C. Fisković considère, dans cet article, que la plupart des nouvelles attributions en faveur de cet artiste ne doivent être acceptées qu’avec réserves.
L’idée- publiée dans »Commentari« en 1962- d’attribuer à Georges le Dalmate certains décors architectoniques avec têtes se trouvant dans la partie occidentale du Palais Ducal à Venise, n’est acceptable que si l’on supose qu’entre l’exécution de ces têtes et celle effectuée par Georges le Dalmate sur l’abside de la cathédrale de Šibenik existe un plus grand laps de temps durant lequel l’artiste a pu se développer, car ces sculptures vénitiennes ne présentent pas de caractéristiques artistiques expressives et ne peuvent être qu’un de ses travaux de début.
Il faut aussi accepter avec réserves l’idée exprimée en 1960 dans le »Bolletino d’arte« que les consoles murales situées sous la voûte de l’église du Corpus Domini à Urbain, les reliefs proches des fenêtres dans la Salle della Jole du Palais Ducal d’Urbain et l’appartion générale du gothique fleuri dans ces lieux, peuvent conduire à un lien avec Georges le Dalmate. Cette opinion repose sur une lettre de 1466 de la Duchesse Baptista Sforsa, femme de Frédéric de Montefeltro, dans laquelle est mentionné un »Maestro Giorgio Schiavo«. Ce nom se rapporte-t-il au sculpteur et constructeur Georges le Dalmate, ou au peintre Georges Ćulinović que l’ on appelait et qui signait ses peintures: »Sclavonus«, étant donné que le constructeur Georges le Dalmate se trouvait ces années-là en DalmatieO? D’autre part, les sculptures d’Urbain ne révèlent pas les traits caractéristiques de Georges le Dalmate.
L’attribution de la statue de saint Nicolas dans la chapelle de ce saint à Tolentino- publiée dans le recueil d’articles »Venezia e l’Europa« (Atti del XVIII congresso internazionale della storia dell’arte, Venezia, 1955)- doit être écartée car, d’après son style, cette sculpture est vraisemblablement l’oeuvre de Michele di Giovanni da Milano, au plutôt même de Giovanni Veneziano, qui ont exécuté des sculptures sur le portail de l’église St-Augustin à Ancône.
C’est avec vraisemblence que l’on peut attribuer à Georges le Dalmate les deux putti de la cathédrale de Šibenik (suivant l’article de Milan Prelog dans »Peristil«, Zagreb, 1961.).
Sur la base d’analyses stylistiques, C. Fisković propose d’attribuer à Georges le Dalmate le haut relief du médaillon inséré dans le mur, au-dessus de la petite porte du mur extérieur de l’église San Vidale à Venise. Il le compare aux autres trDalmate a sculpté ce relief dans sa phase de pleine maturité artistique, alors qu’il travaiilait à la cathédrale de Šibenik, ou pendant qu’il exécutait ses monuments d’ Ancone.

Ključne riječi

Hrčak ID:

149262

URI

https://hrcak.srce.hr/149262

Datum izdavanja:

3.2.1964.

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