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Original scientific paper

LOCALISATION DES MONUMENTS D’ARCHITECTURE DE DUBROVNIK DISPARUS

Lukša Beritić


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page 15-83

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page 257-258

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Abstract

Au cours des siècles la ville de Dubrovnik a vu construire un grand nombre de bâtiments qui n’existent plus aujourd’hui. Tous ceux qui étudient le passé de cette ville, rencontrent souvent ces monuments-là, dont quelques uns n’ont laissé presque aucune trace. L’absence d’esprit critique dans les croniques ragusaines, surtout en ce qui concerne le temps plus reculé, ainsi que celle de certains auteurs des XIXe et XXe siècles font souvent naître des malentendus sur la localisation et le temps de construction de chaque édifice.
L’auteur de l’article, en se basant sur les données d’archives, sur les oeuvres véridiques publiées ainsi que sur les explorations des quartiers de la ville et des eventuels vestiges sur place, a essayé de localiser la position de chaque bâtiment. En tant que, d’après les documents d’archives, il n’a pas été possible d’établir la date précise de la fondation de chaque édifice, on cite le temps de sa première mention. Au surplus, pour chaque monument disparu sont présentées, dans la mesure du possible, les données d’archives plus importantes.
La première partie de cet ouvrage, publié ici, est limitéeaux monuments placés en dedans des murailles de la ville de Dubrovnik. Dans la deuxième partie l’auteur se propose detraiter les monuments une fois existant hors de la ville: dans la banlieue de Ploče et de Pile ainsi que ceux de Gruž et de Lapad.
Dans le premier chaitre l’auteur nous entretint de l’ancienne répartition de Dubrovnik en »sextères« laquelle a étépour la première fois mentionée au XIVe siècle. Cette division initiée pendant la domination vénitienne à Dubrovnik et à l’instar de Venise même, ne se conserva pas longtemps à Dubrovnik, tout au contraire qu’a Venise où elle est encore aujourd’hui en vigueur. Elle a été adoptée par la simple raison qu’on peut considérer la ville de Dubrovnik, en dedans des ses murailles, comme un monument unique.
Dans le second chapitre sont énumérés les bâtiments fortifiés (les fortifications) disparus, c’est-à-dire la porte de la Cité, les tours et les murailles qu’on a fait démolir à cause de l’agrandissement de la ville à la fin du XIIIe siècle et du renforcement des ses fortifications au début du XVe jusqu’à la moitié du XVIIe siècle. Les deux anciennes tours ont été détruites par les Autrichiens dans la première moitié du XIXe siècle.
Le troisième chapitre traite des édifices publics disparus pendant le grand tremblement de terre survenu en 1667. Un certain nombre de ceux-ci a été détruit pendant la domination autrichienne afin de faire place aux bâtimenxs nécessaires à l’armée et à l’administration, et parmi les plus remarquables l’ancienne mairie qui a été démolie par la municipalité même.
Dans le quatrième chapitre l’auteur énumère les églises et les couvents disparus. La majeure partie de ces bâtiments a été démolie par le tremblement de terre en 1667. Un petit nombre de ceux-ci est disparu plus tard, comme par exemple l’ancienne élise de St. Blaise consumée par le feu en 1706, ensuite le baptistère détruit dans la première moitié du XIXe siècle et l’église de l’Annonciation au début du XXe siècle.
Le cinquième chapitre est consacré à l’étude de quelques uns de palais historiquement remarquables, disparus dans legrand tremblement de terre. L’unique exception fait l’ancien archevêché détruit antérieurement.

Keywords

Hrčak ID:

147423

URI

https://hrcak.srce.hr/147423

Publication date:

1.2.1957.

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