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Dire quelque chose qui compte : de la méthode d’immanence de Blondel a la théologie fondamentale de Lubac

Peter Rožić ; Sveučilište Sveta Klara, USA


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str. 743-762

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Au xixe siècle, la discipline théologique de l’apologétique se trouve incapable de faire face au problème du modernisme qui donne le primat à la raison, en excluant le surnaturel. Pour pouvoir «dire quelque chose qui compte» de la foi au monde de son temps, Maurice Blondel propose une approche philosophique dite «méthode d’immanence ». Henri de Lubac la suivra en proposant les premiers linéaments d’une théologie fondamentale. Comment tous deux ont-ils utilisé la méthode d’immanence pour travailler la question du surnaturel ? Si pour Blondel la méthode représente la recherche d’une transcendance présente à l’intérieur de la volonté d’agir, Lubac exige moins une rencontre entre les philosophes et les théologiens qu’une unité de la théologie elle-même. L’hypothèse de cet article est double. Blondel et Lubac étaient capables de comprendre non seulement le problème de la séparation entre l’apologétique et la théologie mais aussi d’articuler une réponse convaincante. Pour relier les deux démarches, il fallait passer de la méthode philosophique de Blondel à la méthode théologique proposée par Lubac. Celle-ci soutient que le dogme a un rapport avec l’homme naturel et que la théologie fondamentale doit aider l’homme à découvrir la signifi cation que la foi et les dogmes peuvent avoir pour lui.

Ključne riječi

méthode d’immanence; Blondel; Lubac; théologie fondamentale; raison; volonté

Hrčak ID:

115778

URI

https://hrcak.srce.hr/115778

Datum izdavanja:

7.2.2014.

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