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Prethodno priopćenje

https://doi.org/10.21464/sp36204

Du shensi au jingjie : la méthode de l’imagination artistique et la plus haute sphère esthétique

Téa Sernelj orcid id orcid.org/0000-0002-3677-7810 ; Univerza v Ljubljani, Filozofska fakulteta, Aškerčeva 2, SI–1000 Ljubljana


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str. 313-332

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str. 331-331

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str. 331-332

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str. 332-332

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Sažetak

Cet article examine le contenu et la signification du concept esthétique chinois shensi et son rapport au concept de la plus haute sphère esthétique (jingjie). La contemplation spirituelle, ou l’imagination artistique (shensi), a été rigoureusement étudiée par Liu Xie (465 – 522) dans son travail théorique sur l’écriture littéraire Le Cœur de la littérature et la Sculpture des dragons au VIème siècle. Cette œuvre constitue la première théorie systématique de la création artistique dans l’esthétique classique chinoise. Cependant, la théorie esthétique du jingjie a été pour la première fois étudiée par Wang Changling (698 – 756) durant la dynastie Tang, mais a été plus tard développée par Wang Guowei (1877 – 1927) à l’aube du XXème siècle, ce qui est considéré comme le début de la modernisation de l’esthétique chinoise. Cet article visite de manière détaillée les deux concepts et soutient que le shensi est, en réalité, une méthode esthétique qui mène à la réalisation de la plus haute sphère esthétique (jingjie) lorsque son application est menée à bien, et qu’elle se manifeste dans le processus artistique et dans l’œuvre artistique même.

Ključne riječi

shensi; jingjie; Liu Xie; Wang Changling; Wang Guowei; esthétique chinoise

Hrčak ID:

280202

URI

https://hrcak.srce.hr/280202

Datum izdavanja:

20.1.2022.

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Posjeta: 1.158 *