Synthesis philosophica, Vol. 30 No. 1, 2015.
Original scientific paper
Le concept de vie dans l’éthique médicale et la bioéthique moderne
Marcus Knaup
; Fernuniversität in Hagen, Faculty of Cultural and Social Sciences, Institute of Philosophy, Hagen, Germany
Abstract
La structure physique caractérise les personnes humaines, ce qui signifie qu’elles ne sont pas seulement un amas de neurones et d’esprits. Déjà simplement le préfixe « bio », dans « bioéthique » témoigne de quelque chose de vivant. Pour cela, la bioéthique doit toujours garder en vue ce lien entre la vie et le corps vivant. Ce travail traite de deux conséquences éthiques qui proviennent d’une réduction de la personne humaine d’un tout organique à un être corporel cérébrale: lorsqu’il n’est pas possible, qu’il n’est pas encore possible ou qu’il n’est plus possible d’établir la présence de compétences intellectuelles ou de structures cérébrales déterminées, la protection juridique et le droit à la vie se trouvent amoindris.
Keywords
bioéthique; Hans Jonas; mort cérébrale; organismes vivants; personnalité; statut de l’embryon; corporalité; Leiblichkeit
Hrčak ID:
162942
URI
Publication date:
27.8.2015.
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